La zone d'activité d'Endemys couvre l'ensemble du territoire français.
Nous sommes déjà intervenus dans onze départements :
- Haute-Corse,
- Corse-du-Sud,
- Vaucluse,
- Var,
- Bouches-du-Rhône,
- Gers,
- Landes,
- Gironde,
- Alpes-Maritimes,
- Yvelines,
- Seine et Marne.
ENDEMYS est un bureau d'études et de conseils visant à proposer aux acteurs publics et privés de l'environnement et du développement local, les compétences nécessaires à leurs projets et programmes d'actions. Endemys vous accompagne pour la réalisation des dossiers règlementaires relatifs au code de l'environnement : étude d'impact environnementale, étude d'incidence natura 2000, notice d'impact, demande d'autorisation de défrichement,...
dimanche 26 décembre 2010
lundi 1 novembre 2010
Modernisation de ZNIEFF en Corse
Endemys est chargé de réaliser la modernisation des 7 ZNIEFF couvrant au total 13 000 ha.
Une ZNIEFF (Zone Naturelle d'Interêt Ecologique Faunistique et Floristique) est un secteur du territoire particulièrement intéressant sur le plan écologique, participant au maintien des grands équilibres naturels ou constituant le milieu de vie d’espèces animales et végétales rares, caractéristiques du patrimoine naturel régional. L’inventaire des ZNIEFF identifie, localise et décrit les sites d’intérêt patrimonial pour les espèces vivantes et les habitats. Il rationalise le recueil et la gestion de nombreuses données sur les milieux naturels, la faune et la flore.
Etabli pour le compte du Ministère de l’environnement, il constitue l’outil principal de la connaissance scientifique du patrimoine naturel et sert de base à la définition de la politique de protection de la nature. Il n’a pas de valeur juridique directe mais permet une meilleure prise en compte de la richesse patrimoniale dans l’élaboration des projets susceptibles d’avoir un impact sur le milieu naturel. Ainsi, l'absence de prise en compte d'une Znieff lors d'une opération d'aménagement relèverait d'une erreur manifeste d'appréciation susceptible de faire l'objet d'un recours. Les Znieff constituent en outre une base de réflexion pour l'élaboration d'une politique de protection de la nature, en particulier pour les milieux les plus sensibles : zones humides, landes etc.
Une ZNIEFF (Zone Naturelle d'Interêt Ecologique Faunistique et Floristique) est un secteur du territoire particulièrement intéressant sur le plan écologique, participant au maintien des grands équilibres naturels ou constituant le milieu de vie d’espèces animales et végétales rares, caractéristiques du patrimoine naturel régional. L’inventaire des ZNIEFF identifie, localise et décrit les sites d’intérêt patrimonial pour les espèces vivantes et les habitats. Il rationalise le recueil et la gestion de nombreuses données sur les milieux naturels, la faune et la flore.
Etabli pour le compte du Ministère de l’environnement, il constitue l’outil principal de la connaissance scientifique du patrimoine naturel et sert de base à la définition de la politique de protection de la nature. Il n’a pas de valeur juridique directe mais permet une meilleure prise en compte de la richesse patrimoniale dans l’élaboration des projets susceptibles d’avoir un impact sur le milieu naturel. Ainsi, l'absence de prise en compte d'une Znieff lors d'une opération d'aménagement relèverait d'une erreur manifeste d'appréciation susceptible de faire l'objet d'un recours. Les Znieff constituent en outre une base de réflexion pour l'élaboration d'une politique de protection de la nature, en particulier pour les milieux les plus sensibles : zones humides, landes etc.
samedi 23 octobre 2010
La Sittelle Corse est menacée d'extinction
La Sittelle Corse (Sitta whiteheadi) vient d'être classée espèce menacée d'extinction dans la catégorie Vulnérable (VU) dans la liste rouge de l'UICN.
La sittelle corse est endémique à la Corse, c'est-à-dire que sa répartition mondiale se situe uniquement en Corse. Passereau forestièr, la Sittelle est essentiellement présente dans les forêts de pin laricio.
Son effectif total est estimée à seulement 1557-2201 couples, sur une superficie de 185 km².
La Liste rouge de l’UICN constitue l’inventaire mondial le plus complet de l’état de conservation global des espèces végétales et animales. Elle s’appuie sur une série de critères précis pour évaluer le risque d’extinction de milliers d’espèces et de sous-espèces. Ces critères s’appliquent à toutes les espèces et à toutes les parties du monde.
Fondée sur une solide base scientifique, la Liste rouge de l’UICN est reconnue comme l’outil de référence le plus fiable sur l’état de la diversité biologique spécifique. Sur la base d’une information précise sur les espèces menacées, le but essentiel de la Liste rouge consiste à mobiliser l’attention du public et des responsables politiques sur l’urgence et l’étendue des problèmes de conservation, ainsi qu’à inciter la communauté internationale à agir en vue de limiter le taux d’extinction des espèces.
La sittelle corse est endémique à la Corse, c'est-à-dire que sa répartition mondiale se situe uniquement en Corse. Passereau forestièr, la Sittelle est essentiellement présente dans les forêts de pin laricio.
Son effectif total est estimée à seulement 1557-2201 couples, sur une superficie de 185 km².
La Liste rouge de l’UICN constitue l’inventaire mondial le plus complet de l’état de conservation global des espèces végétales et animales. Elle s’appuie sur une série de critères précis pour évaluer le risque d’extinction de milliers d’espèces et de sous-espèces. Ces critères s’appliquent à toutes les espèces et à toutes les parties du monde.
Fondée sur une solide base scientifique, la Liste rouge de l’UICN est reconnue comme l’outil de référence le plus fiable sur l’état de la diversité biologique spécifique. Sur la base d’une information précise sur les espèces menacées, le but essentiel de la Liste rouge consiste à mobiliser l’attention du public et des responsables politiques sur l’urgence et l’étendue des problèmes de conservation, ainsi qu’à inciter la communauté internationale à agir en vue de limiter le taux d’extinction des espèces.
mercredi 25 août 2010
Menace sur la filière photovoltaïque en Corse (25-08-2010, 07h06)
(Laetitia Pietri - Alta Frequenza) - Photovoltaïque. La filière en Corse risque de prendre un sérieux coup de frein. En effet, le tarif de rachat par EDF de l'électricité produite à partir de panneaux solaires va baisser de 12% à compter du 1er septembre. Le gouvernement l’a annoncé officiellement lundi. Cette baisse ne concernera pas les particuliers, mais elle s’appliquera à toutes les catégories de producteurs. De plus, avec le coup de rabot annoncé par le gouvernement sur les niches fiscales, le photovoltaïque pourrait perdre ce tout dernier avantage. De quoi remettre en cause la viabilité de la filière sur le long terme. Les professionnels en tous cas sont inquiets et en Corse aussi.
Ecoutez le sentiment de Marceau Simeoni, porteur du projet Cortenergie.
Ecoutez le sentiment de Marceau Simeoni, porteur du projet Cortenergie.
mardi 10 août 2010
Blog sur les Sittelles
Ouverture du blog ayant pour objectif de regrouper les publications scientifiques portant sur les 25 espèces de sittelles.
samedi 31 juillet 2010
Les ONG veulent cadrer le photovoltaïque au sol
Dans un communiqué du 24 juin, des associations (Parmi lesquelles le Comité de liaison énergies renouvelables, France nature environnement, WWF, Greenpeace, ou encore la Ligue de protection des oiseaux) soutiennent le développement de l’énergie solaire photovoltaïque « en tant qu’alternative durable aux énergies fossiles et fissiles ».
Il est essentiel, pour ces associations, de mobiliser la filière du solaire afin de remplir l’objectif d’au moins 23 % d’énergies renouvelables dans la consommation énergétique finale française d’ici 2020.
Pour appliquer cette technologie, l’intégration au bâti est une priorité. Mais il ne faut pas négliger les parcs photovoltaïques au sol, qui permettent « de réaliser des économies d’échelle significatives en comparaison des panneaux posés en toiture, les surfaces des installations réalisées au sol étant généralement plus importantes et d’accès plus aisé».
La filière photovoltaïque reste aujourd’hui très coûteuse, les parcs au sol offrent donc l’opportunité d’un développement rapide réduisant les coûts.
Mais les impacts de cette filière sur l’environnement ne sont pas négligeables : biodiversité touchée par la destruction des milieux naturels et par le cloisonnement des parcs (qui conduit à une rupture de la continuité écologique), artificialisation des sols, impacts sur le paysage. Les effets peuvent également se faire sentir sur l’économie locale, par la concurrence d’usage des sols avec les terres agricoles. Les associations attendent donc qu’un cadre soit fixé pour déterminer les meilleures pratiques applicables aux parcs solaires au sol.
Quelques préconisations pour encadrer la filière sont proposées. « La collectivité doit mener des réflexions parallèles sur les consommations de son territoire, sur les moyens de les réduire (sobriété, efficacité) et sur la production d’énergie locale renouvelable ». Les projets doivent faire l’objet d’une concertation et d’une élaboration participative avec les acteurs du territoire (élus, agriculteurs, associations de protection de l’environnement, entreprises, habitants…).
Reste le problème de l’artificialisation des sols. Ce phénomène inquiétant, dû à l’étalement urbain, grignote les surfaces agricoles. C’est pourquoi les associations attirent l’attention sur la nécessité de soumettre tout projet de parc photovoltaïque à des études d’impact. Celles-ci doivent comporter « des volets détaillés sur la valeur écologique et agronomique des sols et sur l’articulation du projet avec les activités agricoles locales ». L’installation de parcs au sol ne doit donner lieu à aucune destruction de forêt, prévient le communiqué.
Pour préserver la biodiversité, il faudra éviter l’utilisation des espaces naturels et privilégier des lieux à faible valeur écologique. Là aussi, des études d’impact initiales « strictement menées et contenant des inventaires naturalistes complets doivent permettre de prendre les bonnes décisions sur les lieux d’implantation ».
Les associations soulignent le fait que la production photovoltaïque est compatible avec d’autres activités, et qu’il peut être envisagé de les combiner. Par exemple : dépollution des sols, pâturage, apiculture, viticulture, maraîchage, ou toute autre activité compatible avec la présence de panneaux au sol dans un espace clôturé.
Enfin, pour les défenseurs de la nature, les installations au sol ne doivent pas être irréversibles.
Il est essentiel, pour ces associations, de mobiliser la filière du solaire afin de remplir l’objectif d’au moins 23 % d’énergies renouvelables dans la consommation énergétique finale française d’ici 2020.
Pour appliquer cette technologie, l’intégration au bâti est une priorité. Mais il ne faut pas négliger les parcs photovoltaïques au sol, qui permettent « de réaliser des économies d’échelle significatives en comparaison des panneaux posés en toiture, les surfaces des installations réalisées au sol étant généralement plus importantes et d’accès plus aisé».
La filière photovoltaïque reste aujourd’hui très coûteuse, les parcs au sol offrent donc l’opportunité d’un développement rapide réduisant les coûts.
Mais les impacts de cette filière sur l’environnement ne sont pas négligeables : biodiversité touchée par la destruction des milieux naturels et par le cloisonnement des parcs (qui conduit à une rupture de la continuité écologique), artificialisation des sols, impacts sur le paysage. Les effets peuvent également se faire sentir sur l’économie locale, par la concurrence d’usage des sols avec les terres agricoles. Les associations attendent donc qu’un cadre soit fixé pour déterminer les meilleures pratiques applicables aux parcs solaires au sol.
Quelques préconisations pour encadrer la filière sont proposées. « La collectivité doit mener des réflexions parallèles sur les consommations de son territoire, sur les moyens de les réduire (sobriété, efficacité) et sur la production d’énergie locale renouvelable ». Les projets doivent faire l’objet d’une concertation et d’une élaboration participative avec les acteurs du territoire (élus, agriculteurs, associations de protection de l’environnement, entreprises, habitants…).
Reste le problème de l’artificialisation des sols. Ce phénomène inquiétant, dû à l’étalement urbain, grignote les surfaces agricoles. C’est pourquoi les associations attirent l’attention sur la nécessité de soumettre tout projet de parc photovoltaïque à des études d’impact. Celles-ci doivent comporter « des volets détaillés sur la valeur écologique et agronomique des sols et sur l’articulation du projet avec les activités agricoles locales ». L’installation de parcs au sol ne doit donner lieu à aucune destruction de forêt, prévient le communiqué.
Pour préserver la biodiversité, il faudra éviter l’utilisation des espaces naturels et privilégier des lieux à faible valeur écologique. Là aussi, des études d’impact initiales « strictement menées et contenant des inventaires naturalistes complets doivent permettre de prendre les bonnes décisions sur les lieux d’implantation ».
Les associations soulignent le fait que la production photovoltaïque est compatible avec d’autres activités, et qu’il peut être envisagé de les combiner. Par exemple : dépollution des sols, pâturage, apiculture, viticulture, maraîchage, ou toute autre activité compatible avec la présence de panneaux au sol dans un espace clôturé.
Enfin, pour les défenseurs de la nature, les installations au sol ne doivent pas être irréversibles.
mardi 13 juillet 2010
Le programme de l’éolien en mer va s’accélérer
Jean-Louis Borloo a présenté mercredi 5 mai 2010 en Conseil des ministres une communication relative au programme de développement de l’éolien en mer du Grenelle Environnement. Avec comme objectif : une puissance totale de 6.000 mégawatts à l’horizon 2020.
Le «programme de développement de l’éolien en mer du Grenelle Environnement» illustre ainsi la «croissance verte» dans laquelle notre pays s’est engagé, grâce au Grenelle Environnement ; il se décline autour des trois axes suivants :
Axe n°1 : Une planification concertée :
Au printemps 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes-Côte d’Azur de mettre en place, pour chaque façade maritime, une instance de concertation et de planification, rassemblant l’ensemble des parties prenantes. Ces travaux permettront au Gouvernement d’annoncer dans les toutes prochaines semaines la sélection d’une dizaine de «zones propices» dans lesquelles l’éolien en mer sera développé.
Axe n°2 : Un cadre réglementaire simplifié :
Dès l’adoption du projet de loi portant engagement national pour l’environnement («Grenelle 2»), les procédures applicables à l’éolien en mer seront très nettement simplifiées, et la gestion du raccordement des éoliennes en mer au réseau électrique pourra être optimisée.
Axe n°3 : Des appels d’offres destinés à susciter l’émergence d’une nouvelle industrie « verte » créatrice d’emplois :
Le Gouvernement lancera à partir du mois d’octobre 2010 une première série d’appels d’offres visant l’implantation de 3 000 MW dans les zones identifiées comme propices à l’issue de la démarche de planification et de concertation menée ces derniers mois. Les projets seront sélectionnés au troisième trimestre 2011 sur la base du prix d’achat de l’électricité proposé et du délai de mise en service des installations.
Le «programme de développement de l’éolien en mer du Grenelle Environnement» illustre ainsi la «croissance verte» dans laquelle notre pays s’est engagé, grâce au Grenelle Environnement ; il se décline autour des trois axes suivants :
Axe n°1 : Une planification concertée :
Au printemps 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes-Côte d’Azur de mettre en place, pour chaque façade maritime, une instance de concertation et de planification, rassemblant l’ensemble des parties prenantes. Ces travaux permettront au Gouvernement d’annoncer dans les toutes prochaines semaines la sélection d’une dizaine de «zones propices» dans lesquelles l’éolien en mer sera développé.
Axe n°2 : Un cadre réglementaire simplifié :
Dès l’adoption du projet de loi portant engagement national pour l’environnement («Grenelle 2»), les procédures applicables à l’éolien en mer seront très nettement simplifiées, et la gestion du raccordement des éoliennes en mer au réseau électrique pourra être optimisée.
Axe n°3 : Des appels d’offres destinés à susciter l’émergence d’une nouvelle industrie « verte » créatrice d’emplois :
Le Gouvernement lancera à partir du mois d’octobre 2010 une première série d’appels d’offres visant l’implantation de 3 000 MW dans les zones identifiées comme propices à l’issue de la démarche de planification et de concertation menée ces derniers mois. Les projets seront sélectionnés au troisième trimestre 2011 sur la base du prix d’achat de l’électricité proposé et du délai de mise en service des installations.
Volet écologique de l'étude d'impact du projet de construction du Pont du Liamone, Corse, France
Le cabinet ENDEMYS a été choisi par le Conseil Général de Corse du Sud pour réaliser le volet écologique de l'étude d'impact environnementale du projet de construction du nouveau pont du Liamone.
Etude d'incidence Natura 2000
Le conseil Général 2A a mandaté le consortium composé des cabinets EGIS EAU et ENDEMYS pour la réalisation des dossiers règlementaires environnementaux du projet d’aménagement d’un passage à gué sur la RD68 – pont de l’Oso.
Ce projet est situé dans le site Natura 2000 n°FR9400615 «Delta de l’Oso, Punta di Benedettu et Mura dell’Unda». A ce titre il est soumis à étude d'incidence Natura 2000, dont est chargé ENDEMYS.
Ce projet est situé dans le site Natura 2000 n°FR9400615 «Delta de l’Oso, Punta di Benedettu et Mura dell’Unda». A ce titre il est soumis à étude d'incidence Natura 2000, dont est chargé ENDEMYS.
Notice d'impact d'une demande d'autorisation de défrichement
Endemys réalise une notice d'impact environnementale d'un dossier de demande d'autorisation de défrichement dans le cadre d'un projet d'aménagement d'un lotissement en Balagne.
Diagnostic écologique d'un projet d'aménagement de lots commerciaux
Endemys vient de terminer un diagnostic écologique simplifié dans le cadre du développement d'un projet d'aménagement de lots commerciaux dans une zone industrielle en Corse.
Dossiers d'Impact Environnementaux d'un projet de refection de lignes électriques haute-tension
Endemys a réalisé les Dossiers d'Impact Environnementaux d'un projet de réfection de 2 lignes électriques haute-tension d'une longueur cumulée de 17 km.
Étude réalisée pour EDF.
Étude réalisée pour EDF.
mardi 25 mai 2010
Les conséquences de l'incendie de l'été 2000 sur l'effectif de la Sittelle corse (Sitta whiteheadi) dans la vallée de la Restonica, Corse, France.
Thibault J.-C., Moneglia P., Beck N. (2002). Les conséquences de l'incendie de l'été 2000 sur l'effectif de la Sittelle corse (Sitta whiteheadi) dans la vallée de la Restonica, Corse, fFance.. Alauda 70 (4).
Abstract
In August 2000, a fire burnt most of the vegetation in the Restonica valley (Corsica, Western Mediterranean) including ca. 730 ha of Maritime and laricio pines forests. The valley is inscribed in the network Natura 2000 (FR9400578). Comparison of data obtained during field surveys, respectively in 1992 and 2001-2002, shows that 6 of 12 territories of the Corsican nuthatch, an endemic species, have vanished from the studied areas after the fire.
Abstract
In August 2000, a fire burnt most of the vegetation in the Restonica valley (Corsica, Western Mediterranean) including ca. 730 ha of Maritime and laricio pines forests. The valley is inscribed in the network Natura 2000 (FR9400578). Comparison of data obtained during field surveys, respectively in 1992 and 2001-2002, shows that 6 of 12 territories of the Corsican nuthatch, an endemic species, have vanished from the studied areas after the fire.
Estimation de l’impact des incendies de l’été 2000 sur l’effectif d’un oiseau endémique menacé : la sittelle corse (Sitta whiteheadi)
Thibault J.-C., Prodon R., Moneglia P. (2004). Estimating the impact of the fires of summer 2000 on the number of a threatened endemic bird : the Corsican Nuthatch (Sitta whiteheadi). Ecologia mediterranea vol. 30, n°2, pp. 195-203.
Abstract
The Corsican Nuthatch is a passerine endemic to Corsica island. Its habitat mostly consists in old stands of Corsican pine and locally of Maritime pine. Large fires affected several mountain forests during the summer of 2000. Our objective is to estimate the impact of these fires on Corsican nuthatches population. Among the forest stands occupied by this bird, 848 ha of Corsican pines and 275 ha of Maritime pines were either totally charred or simply browned. The ranges considered as charred amounted to 20.1 % for the Corsican pine and 14.6 % for the Maritime pine. Considering densities measurements obtained from several mapping censuses in unburned forests, we estimate at 25-38 the number of territories eliminated because the stands were completely burned, and at 47-80 the number of territories more or less affected by fire or salvage cutting, the total representing about 4 % of the Corsican nuthatch population. However, data on burnt surfaces did not take into account forest mosaic where nuthatches are able to survive. We then discuss the direct effects of fires on the nuthatches (disappearance from territories owing to the fires itself, or to postfire logging) and the secondary effects (delayed mortality of pines, difficulties for the birds to find new nesting sites and/or to obtain food from the cones during the following winter).
Abstract
The Corsican Nuthatch is a passerine endemic to Corsica island. Its habitat mostly consists in old stands of Corsican pine and locally of Maritime pine. Large fires affected several mountain forests during the summer of 2000. Our objective is to estimate the impact of these fires on Corsican nuthatches population. Among the forest stands occupied by this bird, 848 ha of Corsican pines and 275 ha of Maritime pines were either totally charred or simply browned. The ranges considered as charred amounted to 20.1 % for the Corsican pine and 14.6 % for the Maritime pine. Considering densities measurements obtained from several mapping censuses in unburned forests, we estimate at 25-38 the number of territories eliminated because the stands were completely burned, and at 47-80 the number of territories more or less affected by fire or salvage cutting, the total representing about 4 % of the Corsican nuthatch population. However, data on burnt surfaces did not take into account forest mosaic where nuthatches are able to survive. We then discuss the direct effects of fires on the nuthatches (disappearance from territories owing to the fires itself, or to postfire logging) and the secondary effects (delayed mortality of pines, difficulties for the birds to find new nesting sites and/or to obtain food from the cones during the following winter).
Selection de l'habitat par la sittelle corse après incendie
Moneglia P. Besnard A. Thibault J.-C., Prodon R. (2009). Habitat selection of the Corsican Nuthatch (Sitta whiteheadi) after a fire. J. Ornithol. 150:577–583.
Abstract
The Corsican Nuthatch Sitta whiteheadi is a bird endemic to Corsica Island and has a very small population. Its habitat, Corsican pine Pinus nigra laricio forest, is currently restricted to less than 16,000 ha and is threatened by forest fires. In this article, we aim (1) to evaluate the effects of a large wildfire on a Nuthatch population, and (2) to identify the habitat features that influence the presence/ absence of the Nuthatch after fire, so as to promote appropriate forestry practices after fire. The study has been conducted on a study plot of 300 ha which is part of a larger area severely burnt in August 2003. Habitat characteristics have been investigated on 39 plots of 1,225 m2 occupied by the bird, and 22 randomly chosen plots without the Nuthatch. We observed a decrease of 37.5% in Nuthatch abundance the first spring after the fire, but the impact showed great local variation as a function of fire severity. Logistic modelling showed that the presence of Nuthatch mainly depended on the degree of crown alteration: the Nuthatch tended to be present when at least one pine had less than 2.5 m of crown burned. We have no evidence of any direct fire-induced mortality, but several effects of fire can explain this population decrease, namely, the reduction of canopy volume, the decrease of the amount of pine seeds, and the reduction of nest-site availability. These results permit us to propose a simple
criterion that can help in choosing the plots to be cut where salvage logging is necessary.
Abstract
The Corsican Nuthatch Sitta whiteheadi is a bird endemic to Corsica Island and has a very small population. Its habitat, Corsican pine Pinus nigra laricio forest, is currently restricted to less than 16,000 ha and is threatened by forest fires. In this article, we aim (1) to evaluate the effects of a large wildfire on a Nuthatch population, and (2) to identify the habitat features that influence the presence/ absence of the Nuthatch after fire, so as to promote appropriate forestry practices after fire. The study has been conducted on a study plot of 300 ha which is part of a larger area severely burnt in August 2003. Habitat characteristics have been investigated on 39 plots of 1,225 m2 occupied by the bird, and 22 randomly chosen plots without the Nuthatch. We observed a decrease of 37.5% in Nuthatch abundance the first spring after the fire, but the impact showed great local variation as a function of fire severity. Logistic modelling showed that the presence of Nuthatch mainly depended on the degree of crown alteration: the Nuthatch tended to be present when at least one pine had less than 2.5 m of crown burned. We have no evidence of any direct fire-induced mortality, but several effects of fire can explain this population decrease, namely, the reduction of canopy volume, the decrease of the amount of pine seeds, and the reduction of nest-site availability. These results permit us to propose a simple
criterion that can help in choosing the plots to be cut where salvage logging is necessary.
Un nid de Balbuzard pécheur nommé ENDEMYS !
Au cours de la réalisation d'inventaires ornithologiques dans le cadre dela modernisation des ZNIEFF (zone naturelle d'intérêt écologique faunistique et floristique) de Corse, P. Moneglia (consultant faune) a découvert un nouveau nid de Balbuzard pécheur sur la côte occidentale de l'île.
Ci-joint le rapport de synthèse du Parc Naturel Regional de Corse présentant le suivi de la saison de reproduction 2009 de la population de Balbuzards de l'île. Jean-Marie Dominici (responsable scientifique de la réserve de Scandola PNRC) a eu l'heureuse idée de nommer ce nid ENDEMYS !!!
Dominici, J.-M. 2009. Le balbuzard pêcheur en Corse. Saison de reproduction 2009. Parc naturel régional de Corse, Ajaccio.
Résumé du suivi de la saison de reproduction 2009 :
On retiendra les faits suivants de la saison de reproduction 2009 du balbuzard pêcheur en Corse:
Ci-joint le rapport de synthèse du Parc Naturel Regional de Corse présentant le suivi de la saison de reproduction 2009 de la population de Balbuzards de l'île. Jean-Marie Dominici (responsable scientifique de la réserve de Scandola PNRC) a eu l'heureuse idée de nommer ce nid ENDEMYS !!!
Dominici, J.-M. 2009. Le balbuzard pêcheur en Corse. Saison de reproduction 2009. Parc naturel régional de Corse, Ajaccio.
Résumé du suivi de la saison de reproduction 2009 :
On retiendra les faits suivants de la saison de reproduction 2009 du balbuzard pêcheur en Corse:
- 31 couples territoriaux étaient présents dont 29 couples avec une ponte, parmi lesquels 21 ont élevé des jeunes à l’envol,
- Sur les 82 oeufs pondus, 51 oeufs ont éclos et 44 poussins ont été élevés dont six jeunes ont été confié au Parc de la Maremma dans le cadre du projet de réintroduction en Toscane (INTERREG IIIa « balbuzard »),
- la taille moyenne des pontes était de 2.82 oeufs par nid,
- le succès reproducteur (jeunes élevés/nombre d’oeufs) était de 1.86 jeunes.
mardi 4 mai 2010
Centrales solaires photovoltaïques en PACA, Aquitaine et Corse
Endemys réalise les études d'impact de six projets de centrales solaires photovoltaïques en PACA, Aquitaine et Corse.
vendredi 2 avril 2010
Site web d'ENDEMYS
Notre site web a été mis à jour...
Vous y trouverez :
Vous y trouverez :
- la description de notre activité et de nos champs de compétences,
- la présentation des consultants,
- nos références, plus de 70 missions en 5 ans d'activités,
- nos principales actualités,...
Nouveau bureau pour ENDEMYS
L'équipe d'Endemys a désormais intégrée ses nouveaux bureaux à Ponte-Leccia (Corse, France).
vendredi 5 février 2010
Système d’Information Géographique (SIG)
Endemys vient d'acquérir la suite logicielle ArcGIS 9.
Cet outil dote notre cabinet d'un Système d’Information Géographique (SIG), permettant de représenter, analyser et comprendre toutes les éléments qui existent sur terre ainsi que tous les événements qui s’y produisent.
Cet outil dote notre cabinet d'un Système d’Information Géographique (SIG), permettant de représenter, analyser et comprendre toutes les éléments qui existent sur terre ainsi que tous les événements qui s’y produisent.
mardi 5 janvier 2010
Clients privés d'Endemys en 2009
En 2009, le cabinet Endemys a contractualisé avec 21 clients privés :
Réseau de Transport de l'Electricité (RTE), GDF-Suez, Carlina, Kyrnesole, Dhamma Asset Management, Solartrans, Langasolar, Abies, Inddigo, Maïa Solar, Corstyrène, Agence MTDA, Process Environnement, Campo Conseil Invest, Visu Paysage, Symbiosa, Marc Simeoni Consulting, H. Gomila (indépendant), M. Boulmer (indépendant), JT Poggi (indépendant).
Réseau de Transport de l'Electricité (RTE), GDF-Suez, Carlina, Kyrnesole, Dhamma Asset Management, Solartrans, Langasolar, Abies, Inddigo, Maïa Solar, Corstyrène, Agence MTDA, Process Environnement, Campo Conseil Invest, Visu Paysage, Symbiosa, Marc Simeoni Consulting, H. Gomila (indépendant), M. Boulmer (indépendant), JT Poggi (indépendant).
Réunions publiques - Centrales photovoltaïques en Corse
La société CARLINA tiendra une réunion publique d’information, à propos de la ferme photovoltaïque qu’elle développe sur la commune. La réunion se tiendra le jeudi 7 janvier, à 16h00, à la salle des fêtes de Santo-Pietro-di-Tenda.
La société MAIA SOLAR tiendra une réunion publique d’information, à propos de la centrale photovoltaïque qu’elle développe sur la commune d'Arbellara. La réunion se tiendra le samedi 9 janvier, à 16h00, à la maire d'Arbellara.
La société MAIA SOLAR tiendra une réunion publique d’information, à propos de la centrale photovoltaïque qu’elle développe sur la commune d'Arbellara. La réunion se tiendra le samedi 9 janvier, à 16h00, à la maire d'Arbellara.
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